Autant les plaisirs sont brefs, autant les ennuis finissent jamais… Ils se nouent les uns dans les autres, c’est un vrai enchevêtrement. Y’en a bien trop pour ma force… Je me recroqueville dans le malheur, me décompose, me mutile au désespoir. Je me morfonds férocement pour opposer moins de surface… Même me faufiler par-dessous les catastrophes… Rien à faire ! Je me fais cueillir quand même. Les ennuis, je n’existe que par eux.
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