De penser, même un bout, il faut que je m’y reprenne à plusieurs fois. Comme pour parler. Un éclat de pensée à la fois, un mot, l’un après l’autre. Ça fatigue tant ! C’est un exercice qui demande de l’entraînement. Il y a tellement de bruit autour. Sans cesse. Un tumulte, un vacarme, un ouragan intérieur. Infini. Éternel qui rêve d’évasion. J’apprends à faire des choses doucement, avec des petits morceaux arraché au bruit qui ne finit jamais.
« post suivant ::
post précédent »