Elle c’est comme une tempête qui arrive, qui passe, bien trop forte, trop violente, qu’on aurait jamais crue possible rien qu’avec des sentiments. On reste là, pendu au-dessus de ses émotions. Comme une avalanche de désarrois ! Ca fait trembler le peu de vie qu’on possède encore. Et ça fini dans le trou du cul d’un hôpital, encore, et encore… Toute la viande rongée. La tête dans les murs. Est-ce que ça va finir un jour ?! J’en pleure chaque instant, je navigue dans une méchante buée…
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